Mon Amour "Ton Histoire"

J’ai vu plein de “challenges” sur Instagram pour couples, mais ça reste superficiel. Ce journal, c’est un vrai défi sur la durée. On se dit qu’on va remplir toutes les questions, petit à petit. C’est gratifiant, car on voit la progression, et on accumule de la profondeur. Rien à voir avec un challenge en ligne qui s’oublie vite. Là, c’est du concret, ça reste dans le temps. On adore ce concept 2.0, mais en papier.

Quand on est en froid, c’est parfois dur de parler. On ouvre le carnet, on fait une question plus neutre, ça détend. Puis, on glisse subtilement sur le sujet qui nous fâche. Comme c’est écrit, on s’enflamme moins. Je dirais que c’est un bon outil de “mini-thérapie” : on s’auto-guide, on pose des mots, on s’écoute. Évidemment, c’est pas un psy, mais ça suffit pour les petits conflits et les incompréhensions. Franchement, c’est utile.

Tous les soirs, on allumait la télé en rentrant. On se parlait à peine. Maintenant, on se fait deux soirs par semaine sans écran, où on prend le journal. C’est fou ce que ça change. Au lieu de se gaver d’images, on se nourrit de nos souvenirs, de nos rires, de nos projets. Paradoxalement, on en ressort plus “allumés”, plus connectés. Je trouve ça bien plus stimulant que n’importe quelle série.

J’ai vu plein de “challenges” sur Instagram pour couples, mais ça reste superficiel. Ce journal, c’est un vrai défi sur la durée. On se dit qu’on va remplir toutes les questions, petit à petit. C’est gratifiant, car on voit la progression, et on accumule de la profondeur. Rien à voir avec un challenge en ligne qui s’oublie vite. Là, c’est du concret, ça reste dans le temps. On adore ce concept 2.0, mais en papier.

Quand on est en froid, c’est parfois dur de parler. On ouvre le carnet, on fait une question plus neutre, ça détend. Puis, on glisse subtilement sur le sujet qui nous fâche. Comme c’est écrit, on s’enflamme moins. Je dirais que c’est un bon outil de “mini-thérapie” : on s’auto-guide, on pose des mots, on s’écoute. Évidemment, c’est pas un psy, mais ça suffit pour les petits conflits et les incompréhensions. Franchement, c’est utile.

Tous les soirs, on allumait la télé en rentrant. On se parlait à peine. Maintenant, on se fait deux soirs par semaine sans écran, où on prend le journal. C’est fou ce que ça change. Au lieu de se gaver d’images, on se nourrit de nos souvenirs, de nos rires, de nos projets. Paradoxalement, on en ressort plus “allumés”, plus connectés. Je trouve ça bien plus stimulant que n’importe quelle série.

J’ai vu plein de “challenges” sur Instagram pour couples, mais ça reste superficiel. Ce journal, c’est un vrai défi sur la durée. On se dit qu’on va remplir toutes les questions, petit à petit. C’est gratifiant, car on voit la progression, et on accumule de la profondeur. Rien à voir avec un challenge en ligne qui s’oublie vite. Là, c’est du concret, ça reste dans le temps. On adore ce concept 2.0, mais en papier.

Quand on est en froid, c’est parfois dur de parler. On ouvre le carnet, on fait une question plus neutre, ça détend. Puis, on glisse subtilement sur le sujet qui nous fâche. Comme c’est écrit, on s’enflamme moins. Je dirais que c’est un bon outil de “mini-thérapie” : on s’auto-guide, on pose des mots, on s’écoute. Évidemment, c’est pas un psy, mais ça suffit pour les petits conflits et les incompréhensions. Franchement, c’est utile.

Tous les soirs, on allumait la télé en rentrant. On se parlait à peine. Maintenant, on se fait deux soirs par semaine sans écran, où on prend le journal. C’est fou ce que ça change. Au lieu de se gaver d’images, on se nourrit de nos souvenirs, de nos rires, de nos projets. Paradoxalement, on en ressort plus “allumés”, plus connectés. Je trouve ça bien plus stimulant que n’importe quelle série.

J’ai vu plein de “challenges” sur Instagram pour couples, mais ça reste superficiel. Ce journal, c’est un vrai défi sur la durée. On se dit qu’on va remplir toutes les questions, petit à petit. C’est gratifiant, car on voit la progression, et on accumule de la profondeur. Rien à voir avec un challenge en ligne qui s’oublie vite. Là, c’est du concret, ça reste dans le temps. On adore ce concept 2.0, mais en papier.

Quand on est en froid, c’est parfois dur de parler. On ouvre le carnet, on fait une question plus neutre, ça détend. Puis, on glisse subtilement sur le sujet qui nous fâche. Comme c’est écrit, on s’enflamme moins. Je dirais que c’est un bon outil de “mini-thérapie” : on s’auto-guide, on pose des mots, on s’écoute. Évidemment, c’est pas un psy, mais ça suffit pour les petits conflits et les incompréhensions. Franchement, c’est utile.

Tous les soirs, on allumait la télé en rentrant. On se parlait à peine. Maintenant, on se fait deux soirs par semaine sans écran, où on prend le journal. C’est fou ce que ça change. Au lieu de se gaver d’images, on se nourrit de nos souvenirs, de nos rires, de nos projets. Paradoxalement, on en ressort plus “allumés”, plus connectés. Je trouve ça bien plus stimulant que n’importe quelle série.

J’ai vu plein de “challenges” sur Instagram pour couples, mais ça reste superficiel. Ce journal, c’est un vrai défi sur la durée. On se dit qu’on va remplir toutes les questions, petit à petit. C’est gratifiant, car on voit la progression, et on accumule de la profondeur. Rien à voir avec un challenge en ligne qui s’oublie vite. Là, c’est du concret, ça reste dans le temps. On adore ce concept 2.0, mais en papier.

Quand on est en froid, c’est parfois dur de parler. On ouvre le carnet, on fait une question plus neutre, ça détend. Puis, on glisse subtilement sur le sujet qui nous fâche. Comme c’est écrit, on s’enflamme moins. Je dirais que c’est un bon outil de “mini-thérapie” : on s’auto-guide, on pose des mots, on s’écoute. Évidemment, c’est pas un psy, mais ça suffit pour les petits conflits et les incompréhensions. Franchement, c’est utile.

Tous les soirs, on allumait la télé en rentrant. On se parlait à peine. Maintenant, on se fait deux soirs par semaine sans écran, où on prend le journal. C’est fou ce que ça change. Au lieu de se gaver d’images, on se nourrit de nos souvenirs, de nos rires, de nos projets. Paradoxalement, on en ressort plus “allumés”, plus connectés. Je trouve ça bien plus stimulant que n’importe quelle série.

J’ai vu plein de “challenges” sur Instagram pour couples, mais ça reste superficiel. Ce journal, c’est un vrai défi sur la durée. On se dit qu’on va remplir toutes les questions, petit à petit. C’est gratifiant, car on voit la progression, et on accumule de la profondeur. Rien à voir avec un challenge en ligne qui s’oublie vite. Là, c’est du concret, ça reste dans le temps. On adore ce concept 2.0, mais en papier.

Quand on est en froid, c’est parfois dur de parler. On ouvre le carnet, on fait une question plus neutre, ça détend. Puis, on glisse subtilement sur le sujet qui nous fâche. Comme c’est écrit, on s’enflamme moins. Je dirais que c’est un bon outil de “mini-thérapie” : on s’auto-guide, on pose des mots, on s’écoute. Évidemment, c’est pas un psy, mais ça suffit pour les petits conflits et les incompréhensions. Franchement, c’est utile.

Tous les soirs, on allumait la télé en rentrant. On se parlait à peine. Maintenant, on se fait deux soirs par semaine sans écran, où on prend le journal. C’est fou ce que ça change. Au lieu de se gaver d’images, on se nourrit de nos souvenirs, de nos rires, de nos projets. Paradoxalement, on en ressort plus “allumés”, plus connectés. Je trouve ça bien plus stimulant que n’importe quelle série.

J’ai vu plein de “challenges” sur Instagram pour couples, mais ça reste superficiel. Ce journal, c’est un vrai défi sur la durée. On se dit qu’on va remplir toutes les questions, petit à petit. C’est gratifiant, car on voit la progression, et on accumule de la profondeur. Rien à voir avec un challenge en ligne qui s’oublie vite. Là, c’est du concret, ça reste dans le temps. On adore ce concept 2.0, mais en papier.

Quand on est en froid, c’est parfois dur de parler. On ouvre le carnet, on fait une question plus neutre, ça détend. Puis, on glisse subtilement sur le sujet qui nous fâche. Comme c’est écrit, on s’enflamme moins. Je dirais que c’est un bon outil de “mini-thérapie” : on s’auto-guide, on pose des mots, on s’écoute. Évidemment, c’est pas un psy, mais ça suffit pour les petits conflits et les incompréhensions. Franchement, c’est utile.

Tous les soirs, on allumait la télé en rentrant. On se parlait à peine. Maintenant, on se fait deux soirs par semaine sans écran, où on prend le journal. C’est fou ce que ça change. Au lieu de se gaver d’images, on se nourrit de nos souvenirs, de nos rires, de nos projets. Paradoxalement, on en ressort plus “allumés”, plus connectés. Je trouve ça bien plus stimulant que n’importe quelle série.

J’ai vu plein de “challenges” sur Instagram pour couples, mais ça reste superficiel. Ce journal, c’est un vrai défi sur la durée. On se dit qu’on va remplir toutes les questions, petit à petit. C’est gratifiant, car on voit la progression, et on accumule de la profondeur. Rien à voir avec un challenge en ligne qui s’oublie vite. Là, c’est du concret, ça reste dans le temps. On adore ce concept 2.0, mais en papier.

Quand on est en froid, c’est parfois dur de parler. On ouvre le carnet, on fait une question plus neutre, ça détend. Puis, on glisse subtilement sur le sujet qui nous fâche. Comme c’est écrit, on s’enflamme moins. Je dirais que c’est un bon outil de “mini-thérapie” : on s’auto-guide, on pose des mots, on s’écoute. Évidemment, c’est pas un psy, mais ça suffit pour les petits conflits et les incompréhensions. Franchement, c’est utile.

Tous les soirs, on allumait la télé en rentrant. On se parlait à peine. Maintenant, on se fait deux soirs par semaine sans écran, où on prend le journal. C’est fou ce que ça change. Au lieu de se gaver d’images, on se nourrit de nos souvenirs, de nos rires, de nos projets. Paradoxalement, on en ressort plus “allumés”, plus connectés. Je trouve ça bien plus stimulant que n’importe quelle série.

J’ai vu plein de “challenges” sur Instagram pour couples, mais ça reste superficiel. Ce journal, c’est un vrai défi sur la durée. On se dit qu’on va remplir toutes les questions, petit à petit. C’est gratifiant, car on voit la progression, et on accumule de la profondeur. Rien à voir avec un challenge en ligne qui s’oublie vite. Là, c’est du concret, ça reste dans le temps. On adore ce concept 2.0, mais en papier.

Quand on est en froid, c’est parfois dur de parler. On ouvre le carnet, on fait une question plus neutre, ça détend. Puis, on glisse subtilement sur le sujet qui nous fâche. Comme c’est écrit, on s’enflamme moins. Je dirais que c’est un bon outil de “mini-thérapie” : on s’auto-guide, on pose des mots, on s’écoute. Évidemment, c’est pas un psy, mais ça suffit pour les petits conflits et les incompréhensions. Franchement, c’est utile.

Tous les soirs, on allumait la télé en rentrant. On se parlait à peine. Maintenant, on se fait deux soirs par semaine sans écran, où on prend le journal. C’est fou ce que ça change. Au lieu de se gaver d’images, on se nourrit de nos souvenirs, de nos rires, de nos projets. Paradoxalement, on en ressort plus “allumés”, plus connectés. Je trouve ça bien plus stimulant que n’importe quelle série.

J’ai vu plein de “challenges” sur Instagram pour couples, mais ça reste superficiel. Ce journal, c’est un vrai défi sur la durée. On se dit qu’on va remplir toutes les questions, petit à petit. C’est gratifiant, car on voit la progression, et on accumule de la profondeur. Rien à voir avec un challenge en ligne qui s’oublie vite. Là, c’est du concret, ça reste dans le temps. On adore ce concept 2.0, mais en papier.

Quand on est en froid, c’est parfois dur de parler. On ouvre le carnet, on fait une question plus neutre, ça détend. Puis, on glisse subtilement sur le sujet qui nous fâche. Comme c’est écrit, on s’enflamme moins. Je dirais que c’est un bon outil de “mini-thérapie” : on s’auto-guide, on pose des mots, on s’écoute. Évidemment, c’est pas un psy, mais ça suffit pour les petits conflits et les incompréhensions. Franchement, c’est utile.

Tous les soirs, on allumait la télé en rentrant. On se parlait à peine. Maintenant, on se fait deux soirs par semaine sans écran, où on prend le journal. C’est fou ce que ça change. Au lieu de se gaver d’images, on se nourrit de nos souvenirs, de nos rires, de nos projets. Paradoxalement, on en ressort plus “allumés”, plus connectés. Je trouve ça bien plus stimulant que n’importe quelle série.

Parfois, je rentre déprimée du boulot. Mon mec me propose alors “On ouvre notre journal ?” On tombe sur une question positive, comme “votre moment préféré ensemble,” et ça me remonte le moral direct. Je me souviens qu’on a traversé des moments merveilleux. Ça me rappelle que le stress du boulot n’est pas tout. Vraiment, c’est un outil anti-coup de blues. On se recentre sur le bonheur vécu ou à venir.

Après avoir rempli une page, je me sens comme si j’avais voyagé dans le temps ou dans un univers parallèle. On oublie les soucis, on se focalise sur des moments joyeux ou sur nos rêves. Ça nous donne un élan de bonheur quand on referme le cahier. Avant, on finissait la soirée souvent fatigués, maintenant on a un boost d’énergie sentimentale. Je ne pensais pas qu’écrire quelques lignes pourrait autant impacter notre moral.

On n’habite pas ensemble, mais quand on se voit, on met à jour le journal. Entre-temps, on se téléphone pour parler de la dernière question. Ça nous fait un fil rouge, même éloignés. On sait qu’on avance dans ce projet commun, on n’est pas juste chacun dans sa routine. Quand on se retrouve, on compare nos réflexions. C’est un moyen de rester unis malgré la distance. Franchement, ça crée un lien supplémentaire.

Parfois, je rentre déprimée du boulot. Mon mec me propose alors “On ouvre notre journal ?” On tombe sur une question positive, comme “votre moment préféré ensemble,” et ça me remonte le moral direct. Je me souviens qu’on a traversé des moments merveilleux. Ça me rappelle que le stress du boulot n’est pas tout. Vraiment, c’est un outil anti-coup de blues. On se recentre sur le bonheur vécu ou à venir.

Après avoir rempli une page, je me sens comme si j’avais voyagé dans le temps ou dans un univers parallèle. On oublie les soucis, on se focalise sur des moments joyeux ou sur nos rêves. Ça nous donne un élan de bonheur quand on referme le cahier. Avant, on finissait la soirée souvent fatigués, maintenant on a un boost d’énergie sentimentale. Je ne pensais pas qu’écrire quelques lignes pourrait autant impacter notre moral.

On n’habite pas ensemble, mais quand on se voit, on met à jour le journal. Entre-temps, on se téléphone pour parler de la dernière question. Ça nous fait un fil rouge, même éloignés. On sait qu’on avance dans ce projet commun, on n’est pas juste chacun dans sa routine. Quand on se retrouve, on compare nos réflexions. C’est un moyen de rester unis malgré la distance. Franchement, ça crée un lien supplémentaire.

Parfois, je rentre déprimée du boulot. Mon mec me propose alors “On ouvre notre journal ?” On tombe sur une question positive, comme “votre moment préféré ensemble,” et ça me remonte le moral direct. Je me souviens qu’on a traversé des moments merveilleux. Ça me rappelle que le stress du boulot n’est pas tout. Vraiment, c’est un outil anti-coup de blues. On se recentre sur le bonheur vécu ou à venir.

Après avoir rempli une page, je me sens comme si j’avais voyagé dans le temps ou dans un univers parallèle. On oublie les soucis, on se focalise sur des moments joyeux ou sur nos rêves. Ça nous donne un élan de bonheur quand on referme le cahier. Avant, on finissait la soirée souvent fatigués, maintenant on a un boost d’énergie sentimentale. Je ne pensais pas qu’écrire quelques lignes pourrait autant impacter notre moral.

On n’habite pas ensemble, mais quand on se voit, on met à jour le journal. Entre-temps, on se téléphone pour parler de la dernière question. Ça nous fait un fil rouge, même éloignés. On sait qu’on avance dans ce projet commun, on n’est pas juste chacun dans sa routine. Quand on se retrouve, on compare nos réflexions. C’est un moyen de rester unis malgré la distance. Franchement, ça crée un lien supplémentaire.

Parfois, je rentre déprimée du boulot. Mon mec me propose alors “On ouvre notre journal ?” On tombe sur une question positive, comme “votre moment préféré ensemble,” et ça me remonte le moral direct. Je me souviens qu’on a traversé des moments merveilleux. Ça me rappelle que le stress du boulot n’est pas tout. Vraiment, c’est un outil anti-coup de blues. On se recentre sur le bonheur vécu ou à venir.

Après avoir rempli une page, je me sens comme si j’avais voyagé dans le temps ou dans un univers parallèle. On oublie les soucis, on se focalise sur des moments joyeux ou sur nos rêves. Ça nous donne un élan de bonheur quand on referme le cahier. Avant, on finissait la soirée souvent fatigués, maintenant on a un boost d’énergie sentimentale. Je ne pensais pas qu’écrire quelques lignes pourrait autant impacter notre moral.

On n’habite pas ensemble, mais quand on se voit, on met à jour le journal. Entre-temps, on se téléphone pour parler de la dernière question. Ça nous fait un fil rouge, même éloignés. On sait qu’on avance dans ce projet commun, on n’est pas juste chacun dans sa routine. Quand on se retrouve, on compare nos réflexions. C’est un moyen de rester unis malgré la distance. Franchement, ça crée un lien supplémentaire.

Parfois, je rentre déprimée du boulot. Mon mec me propose alors “On ouvre notre journal ?” On tombe sur une question positive, comme “votre moment préféré ensemble,” et ça me remonte le moral direct. Je me souviens qu’on a traversé des moments merveilleux. Ça me rappelle que le stress du boulot n’est pas tout. Vraiment, c’est un outil anti-coup de blues. On se recentre sur le bonheur vécu ou à venir.

Après avoir rempli une page, je me sens comme si j’avais voyagé dans le temps ou dans un univers parallèle. On oublie les soucis, on se focalise sur des moments joyeux ou sur nos rêves. Ça nous donne un élan de bonheur quand on referme le cahier. Avant, on finissait la soirée souvent fatigués, maintenant on a un boost d’énergie sentimentale. Je ne pensais pas qu’écrire quelques lignes pourrait autant impacter notre moral.

On n’habite pas ensemble, mais quand on se voit, on met à jour le journal. Entre-temps, on se téléphone pour parler de la dernière question. Ça nous fait un fil rouge, même éloignés. On sait qu’on avance dans ce projet commun, on n’est pas juste chacun dans sa routine. Quand on se retrouve, on compare nos réflexions. C’est un moyen de rester unis malgré la distance. Franchement, ça crée un lien supplémentaire.

Parfois, je rentre déprimée du boulot. Mon mec me propose alors “On ouvre notre journal ?” On tombe sur une question positive, comme “votre moment préféré ensemble,” et ça me remonte le moral direct. Je me souviens qu’on a traversé des moments merveilleux. Ça me rappelle que le stress du boulot n’est pas tout. Vraiment, c’est un outil anti-coup de blues. On se recentre sur le bonheur vécu ou à venir.

Après avoir rempli une page, je me sens comme si j’avais voyagé dans le temps ou dans un univers parallèle. On oublie les soucis, on se focalise sur des moments joyeux ou sur nos rêves. Ça nous donne un élan de bonheur quand on referme le cahier. Avant, on finissait la soirée souvent fatigués, maintenant on a un boost d’énergie sentimentale. Je ne pensais pas qu’écrire quelques lignes pourrait autant impacter notre moral.

On n’habite pas ensemble, mais quand on se voit, on met à jour le journal. Entre-temps, on se téléphone pour parler de la dernière question. Ça nous fait un fil rouge, même éloignés. On sait qu’on avance dans ce projet commun, on n’est pas juste chacun dans sa routine. Quand on se retrouve, on compare nos réflexions. C’est un moyen de rester unis malgré la distance. Franchement, ça crée un lien supplémentaire.

Parfois, je rentre déprimée du boulot. Mon mec me propose alors “On ouvre notre journal ?” On tombe sur une question positive, comme “votre moment préféré ensemble,” et ça me remonte le moral direct. Je me souviens qu’on a traversé des moments merveilleux. Ça me rappelle que le stress du boulot n’est pas tout. Vraiment, c’est un outil anti-coup de blues. On se recentre sur le bonheur vécu ou à venir.

Après avoir rempli une page, je me sens comme si j’avais voyagé dans le temps ou dans un univers parallèle. On oublie les soucis, on se focalise sur des moments joyeux ou sur nos rêves. Ça nous donne un élan de bonheur quand on referme le cahier. Avant, on finissait la soirée souvent fatigués, maintenant on a un boost d’énergie sentimentale. Je ne pensais pas qu’écrire quelques lignes pourrait autant impacter notre moral.

On n’habite pas ensemble, mais quand on se voit, on met à jour le journal. Entre-temps, on se téléphone pour parler de la dernière question. Ça nous fait un fil rouge, même éloignés. On sait qu’on avance dans ce projet commun, on n’est pas juste chacun dans sa routine. Quand on se retrouve, on compare nos réflexions. C’est un moyen de rester unis malgré la distance. Franchement, ça crée un lien supplémentaire.

Parfois, je rentre déprimée du boulot. Mon mec me propose alors “On ouvre notre journal ?” On tombe sur une question positive, comme “votre moment préféré ensemble,” et ça me remonte le moral direct. Je me souviens qu’on a traversé des moments merveilleux. Ça me rappelle que le stress du boulot n’est pas tout. Vraiment, c’est un outil anti-coup de blues. On se recentre sur le bonheur vécu ou à venir.

Après avoir rempli une page, je me sens comme si j’avais voyagé dans le temps ou dans un univers parallèle. On oublie les soucis, on se focalise sur des moments joyeux ou sur nos rêves. Ça nous donne un élan de bonheur quand on referme le cahier. Avant, on finissait la soirée souvent fatigués, maintenant on a un boost d’énergie sentimentale. Je ne pensais pas qu’écrire quelques lignes pourrait autant impacter notre moral.

On n’habite pas ensemble, mais quand on se voit, on met à jour le journal. Entre-temps, on se téléphone pour parler de la dernière question. Ça nous fait un fil rouge, même éloignés. On sait qu’on avance dans ce projet commun, on n’est pas juste chacun dans sa routine. Quand on se retrouve, on compare nos réflexions. C’est un moyen de rester unis malgré la distance. Franchement, ça crée un lien supplémentaire.

Parfois, je rentre déprimée du boulot. Mon mec me propose alors “On ouvre notre journal ?” On tombe sur une question positive, comme “votre moment préféré ensemble,” et ça me remonte le moral direct. Je me souviens qu’on a traversé des moments merveilleux. Ça me rappelle que le stress du boulot n’est pas tout. Vraiment, c’est un outil anti-coup de blues. On se recentre sur le bonheur vécu ou à venir.

Après avoir rempli une page, je me sens comme si j’avais voyagé dans le temps ou dans un univers parallèle. On oublie les soucis, on se focalise sur des moments joyeux ou sur nos rêves. Ça nous donne un élan de bonheur quand on referme le cahier. Avant, on finissait la soirée souvent fatigués, maintenant on a un boost d’énergie sentimentale. Je ne pensais pas qu’écrire quelques lignes pourrait autant impacter notre moral.

On n’habite pas ensemble, mais quand on se voit, on met à jour le journal. Entre-temps, on se téléphone pour parler de la dernière question. Ça nous fait un fil rouge, même éloignés. On sait qu’on avance dans ce projet commun, on n’est pas juste chacun dans sa routine. Quand on se retrouve, on compare nos réflexions. C’est un moyen de rester unis malgré la distance. Franchement, ça crée un lien supplémentaire.

Parfois, je rentre déprimée du boulot. Mon mec me propose alors “On ouvre notre journal ?” On tombe sur une question positive, comme “votre moment préféré ensemble,” et ça me remonte le moral direct. Je me souviens qu’on a traversé des moments merveilleux. Ça me rappelle que le stress du boulot n’est pas tout. Vraiment, c’est un outil anti-coup de blues. On se recentre sur le bonheur vécu ou à venir.

Après avoir rempli une page, je me sens comme si j’avais voyagé dans le temps ou dans un univers parallèle. On oublie les soucis, on se focalise sur des moments joyeux ou sur nos rêves. Ça nous donne un élan de bonheur quand on referme le cahier. Avant, on finissait la soirée souvent fatigués, maintenant on a un boost d’énergie sentimentale. Je ne pensais pas qu’écrire quelques lignes pourrait autant impacter notre moral.

On n’habite pas ensemble, mais quand on se voit, on met à jour le journal. Entre-temps, on se téléphone pour parler de la dernière question. Ça nous fait un fil rouge, même éloignés. On sait qu’on avance dans ce projet commun, on n’est pas juste chacun dans sa routine. Quand on se retrouve, on compare nos réflexions. C’est un moyen de rester unis malgré la distance. Franchement, ça crée un lien supplémentaire.