Mes parents remplissent ensemble Papa Ton Histoire et Maman Ton Histoire. Que du bonheur!
On a un problème, on ouvre une question. Parfois, c’est pile ce dont on a besoin pour exprimer nos frustrations. Le livre nous écoute, on se livre, c’est salvateur.
Fin de week-end déprimante ? Plus maintenant. On ouvre le carnet, on se raconte nos vieilles histoires drôles, on part la semaine sur une note positive. Miracle.
Même quand c’est humoristique, ça me fait chaud au cœur. Parce qu’il y a du partage, de l’intime. On sent qu’on construit un trésor ensemble, page après page.
On oublie tout : les factures, le taf, les soucis. On se plonge dans une question, on en sort la tête pleine de souvenirs et le cœur réchauffé.
Y en a plusieurs qui l’ont essayé, et tous valident. Ça fait plaisir de voir qu’on n’est pas les seuls à trouver ça génial. C’est un concept universel, en fait.
Depuis qu’on répond à ces questions, on se sent plus en phase, on devine mieux les réactions de l’autre. C’est comme si on avait synchronisé nos esprits.
Je parle peu de mes émotions, j’ai toujours peur de paraître ridicule. Ce journal sert d’intermédiaire. Je lis une question, j’écris une réponse honnête, et ça débloque. Ma partenaire fait pareil, et ensuite on se confie. C’est moins direct que “raconte-moi tes sentiments”. On se sent plus libres, pas jugés. Franchement, j’aurais jamais cru que ça marcherait aussi bien sur moi. Je le recommande à ceux qui sont un peu bloqués, comme moi.
Un soir, on a sorti le journal devant un autre couple, et on leur a lu une question style “Votre plus gros délire en amoureux ?” Chacun a raconté sa petite anecdote, on s’est tous bidonnés. Ça devient un jeu entre couples, même si à la base, c’est perso. Les amis ont kiffé et comptent en prendre un. Comme quoi, ça peut aussi animer des soirées, tant qu’on ne dépasse pas la frontière de l’intime.
J’écris comme un cochon, et j’étais un peu complexé. Mais on s’en fiche, l’important est ce qu’on raconte, pas la calligraphie. Au début, je m’appliquais, puis j’ai lâché prise. Maintenant, même avec mon écriture moche, ma copine comprend à peu près, et on s’en amuse. Le but, c’est d’échanger, pas de gagner un prix de style. J’apprécie la liberté que ça procure : on se concentre sur le fond, pas la forme.
Ça peut paraître anecdotique, mais j’aime les objets qui ont de la gueule, et ce journal, on le laisse sur la table basse du salon. Il est beau, ça fait presque partie de la déco, et en même temps, on peut l’ouvrir à tout moment. Certains invités l’ont vu et ont demandé “C’est quoi ?” On leur explique, parfois ils feuillettent juste la couverture, et ça suscite de la curiosité. J’ai aussi le sentiment que ça envoie un message positif aux gens : on s’investit dans notre relation, on a quelque chose de spécial pour nous deux. Donc, si vous hésitez en pensant que ça fera “too much” en apparence, détrompez-vous. C’est un bel objet, et ça se marie bien avec notre intérieur.
On se donne 30 secondes pour répondre, version speed. On obtient des réponses spontanées, parfois surprenantes. Ça pimente le jeu. Et on rigole beaucoup du résultat.
J’ai offert ce journal à mon mari en me disant “Espérons qu’il aime”. Il a été super touché, et il m’a avoué que c’était l’un des cadeaux les plus sincères qu’il ait reçus. Je ne pensais pas qu’il serait ému à ce point. Il a compris que derrière ce livre, je voulais investir du temps avec lui, creuser nos souvenirs et nos projets. C’est plus qu’un objet, c’est une promesse de moments à deux. Il m’a remerciée d’avoir pensé à un cadeau qui va nous lier sur le long terme. Depuis, c’est lui qui me propose des sessions. Ça me rend heureuse de voir que ça le touche autant.
On n’est pas mariés, mais on fête chaque année l’anniversaire de notre rencontre. Cette année, j’ai sorti ce journal comme petite surprise. On a commencé par la question “Que ressentiez-vous lors de nos tout premiers échanges ?” On a replongé dans ces instants magiques, un peu maladroits. C’était ultra romantique de réécrire nos mémoires. Ça nous a propulsés dans une soirée émotion, sans que ce soit triste, juste nostalgique et joyeux. Je recommande à tous ceux qui veulent célébrer une date clé, sans tomber dans le cliché. Un bon repas, quelques pages du journal, et on passe un moment unique. C’était parfait pour nous.
Les retours sont unanimes : ça marche pour créer du dialogue. Je crois que c’est un concept universel, tant qu’on a envie de se découvrir plus.
Elle voulait voir à quoi ça ressemblait. Elle a lu un extrait, trouvé ça top. Maintenant, elle en veut un pour elle et son copain. Succès garanti.
En lisant parfois ce qu’on a écrit il y a un mois, on se souvient du contexte exact. On ressuscite des moments précieux, ça nous fait du bien.
Quand j’ai vu la couverture et la mise en page, j’ai été séduit. Le papier est agréable, l’aspect est “propre”, ça donne envie d’écrire. Ma compagne s’éclate à mettre des petites déco dans les marges. C’est bête, mais l’esthétique joue beaucoup. On se sent valorisés quand on écrit dans un bel objet, pas un simple cahier basique. Du coup, on y revient volontiers. C’était un critère important pour nous.
On a trouvé notre fils de 15 ans qui le lisait en cachette. Au début, on a été gênés, mais il disait juste “C’est trop cool, je veux un journal comme ça pour mes potes”. On a compris que ça ouvrait le dialogue, même pour lui. On lui a gentiment demandé de pas tout lire parce que c’est intime, mais je trouve marrant que même un ado y voit de l’intérêt. Comme quoi, ça touche tout le monde !
On n’avait pas envie que ça devienne une obligation “ce soir, faut remplir trois pages”. Finalement, c’est hyper libre. On répond quand on veut, on arrête quand on est fatigués. Parfois, on s’emballe et on fait cinq questions d’affilée, parfois aucune pendant deux semaines. Aucun stress. Du coup, c’est bien plus agréable. On le considère comme un allié, pas une contrainte. Et ça, c’est essentiel pour qu’on reste motivés.
J’ai parfois du mal à me confier, alors j’avais peur que ce journal me force à dévoiler trop de choses. Mais en fait, c’est moi qui choisis. Certaines questions, j’y réponds en surface, d’autres je creuse davantage. Mon chéri fait pareil. On ne se sent pas obligés de tout raconter si on n’est pas prêts. Et au final, petit à petit, on s’ouvre plus que prévu, mais toujours à notre rythme. Parfait pour respecter nos limites.
Je me suis dit “On va forcément exagérer nos sentiments pour remplir ces pages, et ça va sonner faux.” Pourtant, non. Les questions sont conçues pour qu’on parle de soi, de son vécu, de ses attentes, sans tomber dans la déclaration romanesque forcée. On écrit ce qu’on veut, comme on le veut. Parfois, on rigole, parfois on pose des mots plus touchants. Mais tout reste authentique. Mon copain a d’ailleurs fait des réponses très sobres, et c’était tout aussi précieux que si ça avait été un poème. Je crois que ce journal se plie vraiment au style de chacun. Si vous avez peur d’être obligé d’écrire des pages de passion, rassurez-vous, ce n’est pas du tout le cas.
Et il s’est surpris lui-même. Comme c’est lui qui a la main sur le stylo, il peut choisir ses mots, son rythme. Il n’y a pas le stress du face-à-face immédiat : il écrit, puis je découvre, puis on en discute. Du coup, il est bien plus à l’aise pour parler de ses ressentis. Je ne pensais pas qu’un objet pareil pourrait être aussi libérateur. Même quand on aborde nos points sensibles, on reste calmes. C’est plus facile de mettre sur papier des choses qu’on a du mal à dire en direct. Bref, ce cadeau n’est pas tombé à l’eau. Au contraire, ça nous a rapprochés, alors qu’au départ, il était sceptique.
On rit souvent, parce que les questions ne sont pas toujours solennelles. Y’a des trucs sur nos pires gaffes ou nos moments de honte. Et ça, ça dédramatise tout. On se marre en se rappelant ces situations cocasses, on se charie un peu, et ça fait du bien. Je trouve que c’est un équilibre idéal entre émotion et rigolade. Ça rend l’expérience plus fun et moins “prise de tête”.
Je pensais qu’on allait nous imposer un ordre : “question 1, question 2, etc.” Mais on peut piocher comme on veut. Parfois, je lis le sommaire, je tombe sur un thème qui me tente, et on y va. Ça garde l’effet de surprise tout en étant flexible. Mon partenaire, lui, préfère avancer page par page. Du coup, on alterne nos méthodes. Ça donne un résultat assez drôle, mais c’est parfait pour nous.